Patrimoine bâti
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Où que l’on marche, nous rencontrons un patrimoine en lien avec l’activité humaine, ainsi qu’un patrimoine immatériel, en lien avec le savoir, l’histoire, les légendes, la culture, et un patrimoine naturel. Toute randonnée induit une thématique patrimoniale.
Patrimoine bâti en Cévennes
Selon que l’on évolue sur de la roche calcaire, du schiste ou du granite, le paysage est différent, le bâti qui en découle ainsi que le couvert végétal varient. S’intéresser à la naissance de telle ou telle roche, apprécier la beauté des constructions qui, l’utilisant se fondent dans le paysage, remarquer l’ingéniosité des constructions adaptées à la pente et au paysage. Les techniques utilisées pour la gestion de l’eau et de l’érosion. Les cultures en terrasses.
Ma pierre à l’édifice
Balade sur les traces des anciens qui bâtissaient des pans de montagne du ruisseau jusqu’au sommet, conquête de la pente et de l’eau, la roche omniprésente, le paysage construit. Muret, terrasse, sentier, béal, escalier… tout un savoir faire tombé en désuétude que certains se sont ré approprié et qui inlassablement restaurent ce patrimoine en harmonie avec son environnement. Avec la balade-atelier Ma pierre à l’édifice, il s’agir d’expérimenter la restauration d’un mur ou pan de mur. Technique simple, méthodique et gratifiante. Sur une journée. Prévoir gants de travail, chaussures fermées, panta-long. Ma pierre à l’édifice a lieu avec minimum 5 participants, il est possible de l’organiser chez un particulier qui souhaite restaurer son patrimoine bâti.
Patrimoine > autres
Les voies du pastoralisme – Cévennes
L’activité pastorale, son lien avec l’ouverture des paysages. Les activités qui en découlent, laine, lait, fromage, viande. Marcher sur les traces des troupeaux qui sont en quête d’herbe verte l’été, sur ces larges drailles qui avancent sur les crêtes et cols des montagnes, foulées par des milliers de sabots .
Vestiges de châtaigneraie – Cévennes
Le châtaigner, indigène des Cévennes fût l’arbre à pain des habitants, leur fournissant bois pour charpente, mobilier, clôtures, vannerie, feu, fruits pour la famille, les bêtes, la farine…Entre crêtes et vallées, on rencontre de nombreuses châtaigneraies aujourd’hui retournées à l’état sauvage, témoignant de cette période faste. Il s’accommode de sols acides et pauvres des Cévennes.
